Particularités du caryer ovale

Taille et forme

  • De 20 à 30 mètres de hauteur.
  • Tronc de 30 à 80 centimètres de diamètre.

Feuilles

  • Les feuilles (15 à 25 centimètres de longueur) se composent de 5 folioles par pétiole.
  • Leur partie supérieure est verte, et leur partie inférieure est pâle et pubescente.

Écorce

  • En vieillissant, l’écorce du tronc se sépare en longues lamelles et donne à l’arbre un aspect broussailleux.

Fleurs

  • Inflorescences de chatons verts (10 à 15 centimètres de longueur) (fleurs mâles) et inflorescences minuscules de 2 à 4 épis à la pointe des nouveaux rameaux de l’année courante (fleurs femelles).

Fruits

  • Noix rondes comestibles (3 à 4,5 centimètres de longueur).

Aire de répartition du caryer ovale

Le caryer ovale pousse le long du Saint Laurent, soit dans le sud de l’Ontario jusqu’au Québec.

À savoir pour cultiver le caryer ovale

  • Humidité : préfère un sol humide.
  • Ombre : préfère le soleil, mais peut tolérer un peu d’ombre.
  • Sol : préfère un sol riche.
  • Remarque : le caryer ovale pousse bien sur les terrains en pente et dans les vallées où le sol est humide.

Bienfaits et usages du caryer ovale

Bienfaits pour la faune

Les noix sucrées du caryer ovale sont un véritable régal pour les écureuils. D’autres espèces de mammifères et d’oiseaux se nourrissent de ces noix, y compris les tamias rayés et les ours noirs.

Usages commerciaux

Le caryer ovale est un bois tenace qui peut servir à fabriquer des produits durables et résistants aux chocs, comme des revêtements de sol, des poignées d’outils, de l’équipement de sport et des meubles. Il s’agit d’un bois qui brûle lentement et qui peut également être utilisé comme combustible ou charbon de bois pour donner une saveur fumée aux aliments pendant la cuisson.

Faits intéressants au sujet du caryer ovale

  • Le caryer ovale a une écorce pelucheuse d’où lui vient son nom en anglais.
  • Les caryers ovales peuvent vivre jusqu’à 200 ans.
  • On a découvert des peuplements isolés de caryers ovales près du lac Huron et de la baie Georgienne qui ont peut-être été plantés par les Autochtones il y a des centaines d’années.