Une description de l’habitat général est un document technique fournissant une plus grande précision sur l’habitat protégé d’une espèce; cette description se fonde sur la définition d’habitat général prévu à la Loi de 2007 sur les espèces en voie de disparition. La protection générale de l’habitat ne comprend pas une aire où l’espèce se trouvait antérieurement ou qui a le potentiel afin de l’y réintroduire, à moins que les membres existants de l’espèce ne dépendent de l’aire pour mener à bien leurs processus de vie. La description d’habitat général décrit aussi comment la catégorie de l’habitat a été établie conformément à la « politique de catégorisation et de protection de l’habitat aux termes de la Loi sur les espèces en voie de disparition » et est fondée sur la meilleure information scientifique disponible.

Catégorisation de l’habitat pour le Massasauga (Sistrurus catenatus)

Catégorie 1. Le site de gestation et la zone d’un rayon de 30 m qui l’entoure et les gîtes d’hibernation et la zone d’un rayon de 100 m qui l’entoure

Catégorie 2. Les habitats ouverts et semi-ouverts ayant un microclimat adéquat et l’habitat de lisière de forêt situés à 1,2 km d’une occurrence de l’espèce

Catégorie 3. La forêt située à un 1,2 km d’une occurrence de l’espèce

Catégorie 1

Le site de gestation et la zone d’un rayon de 30 m qui l’entoure et le gîte d’hibernation et la zone d’un rayon de 100 m qui l’entoure sont jugés avoir le niveau de tolérance le moins élevé à la perturbation. Les perturbations dans cette zone compromettront probablement la fonction des habitats de gestion et d’hibernation. Le massasauga dépend de ces zones pour ses processus vitaux sensibles, dont la reproduction, l’hibernation et la thermorégulation. Les sites de gestion et les gîtes d’hibernation sont des occurrences rares dans le paysage; ils peuvent soutenir des concentrations d’individus et sont habituellement utilisés. Une zone tampon d’un rayon de 30 m (la hauteur moyenne d’un arbre) autour des sites de gestation est importante pour maintenir les conditions de microclimat (par ex., les caractéristiques thermales, végétales et d’ensoleillement) et une zone d’un rayon de 100 m autour des gîtes d’hibernation englobe l’habitat d’hibernation envers lequel le massasauga manifeste généralement une grande fidélité.

Sites de gestion

La femelle gravide du massasauga utilise des microhabitats très particuliers connus sous le nom de sites de gestation (Rouse et Wilson 2002, EMRT 2005, Harvey et Weatherhead 2006a, Marshal et coll. 2006, Harvey 2008, Foster et coll. 2009, Agence de Parcs Canada 2011). Protéger une zone d’un rayon de 30 m (hauteur moyenne d’un arbre) autour des sites de gestation permet de maintenir les conditions de microclimat (par ex., caractéristiques thermales, végétales et d’ensoleillement) et de faire en sorte que ces sites continueront d’être utilisés.

En raison de la rareté des sites de gestation du massasauga dans le paysage, ces sites sont souvent réutilisés au cours de la durée de vie d’un individu et peuvent aussi être occupés de façon communautaire par les femelles gravides (EMRT 2002a, Rouse et Wilson 2002, Harvey 2008, Agence Parcs Canada 2011). Les femelles gravides demeurent à leur site de gestation pendant environ trois mois, jusqu’à ce qu’elles mettent bas en août ou au début septembre (Agence Parcs Canada 2011, Crowley obs. pers.).

Les femelles gravides sont sédentaires et s’éloignent rarement de leur site de gestation pendant leur période de gestation (Johnson 1995, Rouse et Wilson 2002, Marshall et coll. 2006, DeGregorio et coll. 2011 b). Les femelles gravides choisissent des sites de gestation situés dans des habitats ouverts ou dans des endroits ayant un faible couvert forestier (<25 %) comme des clairières forestières, des lisières de forêt, des affleurements rocheux et des terres humides au stade de début de succession ou de mi succession, les rives, les prés, les champs et les alvars (Johnson 1995, ERM 2002a, ERM 2005, Yagi 2005, Harvey et Weatherhead 2006a, Marshall et coll. 2006, Rouse 2006, Harvey 2008, Foster et coll. 2009, Crowley, données inédites). Ces endroits permettent aux femelles en gestation de maintenir des températures corporelles constantes, ce qui augmente la rapidité et le succès de l’embryogenèse (Johnson 1995, Foster et coll. 2009, Harvey et Weatherhead 2010). Lorsque les sites de gestation sont situés le long des lisières de forêt, ils ont typiquement une exposition au sud pour maximiser la période de plein soleil que reçoit le site (Harvey comm. pers. 2008; Crowley obs. pers.).

Les sites de gestation du massasauga sont généralement centrés sur une caractéristique comme une grosse pierre plate, un tas de roches, une crête rocheuse dégagée, une hutte de castors, une plage de galets surélevée, des tas de broussailles ou de débris et sont partiellement entourés de végétation basse comme des herbes ou des arbustes (ERM 2005, Harvey et Weatherhead 2006a, Marshall et coll. 2006, Harvey 2008, Agence Parcs Canada 2011). Ces caractéristiques de microhabitat contribuent à fournir une gamme optimale de conditions thermales à l’espèce et à la protéger des prédateurs (ERM 2005, Harvey 2005, Harvey et Weatherhead 2006a, Harvey 2008, Foster et coll. 2009).

Gîtes d’hibernation

Le massasauga passe l’hiver (de six à sept mois) dans un gîte d’hibernation souterrain où il peut se réfugier au-dessous de la ligne de gel, mais demeurer au-dessus de la nappe phréatique (Agence Parcs Canada 2011, Yagi et Planck 2011). Ce serpent manifeste souvent une grande fidélité envers un gîte ou une aire d’hibernation en particulier (ERM 2002a, Yagi 2005, Harvey et Weatherhead 2006b, Harvey 2008). Dans la péninsule de Bruce, 70 % des massasauga suivis par dépistage radioélectrique retournaient au même voisinage et choisissaient un gîte d’hibernation situé à moins de 100 de celui de l’année précédente (Harvey et Weatherhead 2006b). De même, la plupart des massasauga de la tourbière Wainfleet hiberne à moins de 100 m de l’endroit qu’ils occupaient précédemment (Yagi comm. pers. 2011, dans Agence Parcs Canada 2011). L’habitat d’hibernation est souvent situé dans des endroits particuliers offrant des conditions de microclimat favorables plutôt qu’être dispersé dans le paysage (Yagi 2005, Harvey et Weatherhead 2006b). L’espèce hiberne généralement seule, mais les gîtes peuvent être utilisés par deux individus ou plus là où l’habitat d’hibernation est limité (ERM 2002b, Rouse et Wilson 2002, Harvey et Weatherhead 2006b, Harvey 2008). La zone environnante du gîte d’hibernation est aussi importante pour maintenir les conditions de microclimat (par ex., les caractéristiques thermales, végétales et d’ensoleillement) qui assurent la fonction du gîte d’hibernation. Une zone d’un rayon de 100 m autour du gîte d’hibernation englobe l’habitat d’hibernation envers lequel le massasauga manifeste une fidélité.

L’habitat d’hibernation adéquat du massasauga est généralement situé dans les terres basses aux sols saturés d’eau, où la nappe phréatique se trouve près de la surface pour permettre aux serpents d’éviter de se dessécher (Johnson 1995, ERM 2005, Agence Parcs Canada 2011). Les gîtes d’hibernation adéquats doivent aussi fournir des conditions aérobies convenables pendant toute la période d’hibernation (Yagi et Planck 2011). Le gîte d’hibernation peut être situé dans le système radiculaire d’un arbre, une crevasse ou fissure dans une roche ou un terrier de petit mammifère ou un trou d’écrevisse (ERM 2002a, ERM 2002b, Rouse et Wilson 2002, ERM 2005, Yagi 2005, Harvey et Weatherhead 2006b). Le massasauga s’expose généralement au soleil au gîte d’hibernation pendant quelques semaines après son émergence et avant de se disperser au printemps, ainsi qu’à l’automne avant de pénétrer dans le gîte en octobre pour l’hiver (ERM 2002b, Yagi 2005, Harvey et Weatherhead 2006a, Marshall et coll. 2006).

Dans la péninsule de Bruce, les gîtes d’hibernation sont situés dans les forêts de décidus et de conifères (Harvey et Weatherhead 2006a, Harvey et Weatherhead 2006b). L’habitat d’hibernation adéquat comprend des aires de topographie du karst où des fissures se prolongent jusqu’à la nappe phréatique ainsi que les systèmes radiculaires d’arbres et les terriers de rongeurs (EMR 2005, Harvey et Weatherhead 2006b). Harvey et Weatherhead (2006b) ont constaté que les gîtes d’hibernation avaient toujours une exposition au sud et qu’ils étaient associés à une abondante couverture végétale, de grands arbustes et de grosses pierres pouvant contribuer à modérer les conditions météorologiques violentes et les extrêmes de température. Dans la région de l’est de la baie Georgienne, les massasaugas hibernent principalement dans les terres humides, comme les marécages de conifères ou d’arbustes, les fens ou les dépressions mouillées qui soutiennent des tertres de mousse de sphaigne ou de carex et des communautés d’arbres ou d’arbustes éparpillés (ERM 2002a, Rouse et Wilson 2002, ERM 2005). Il a été documenté que les massasaugas de la tourbière Wainfleet utilisaient des trous formés par le système radiculaire d’un arbre ou les terriers de petit mammifère dans les sols organiques au sein de communautés végétales arbustives ou forestières et arbustives (Yagi 2005, Yagi comm. pers. 2012). On dispose de peu de données sur l’habitat d’hibernation de la population du complexe de prairies ojibwa. On a signalé que les massasaugas à cet endroit se servaient de trous d’écrevisses (Cambarus diogenes) et de caractéristiques anthropiques comme les trottoirs de ciment dans les taillis d’arbustes, les forêts de décidus mixtes, les prés en début de succession et les habitats d’herbes hautes (Preney comm. pers. 2012). Le serpent peut aussi se servir de terriers de petit mammifère et les systèmes radiculaires qui offrent des conditions d’habitat d’hibernation adéquates (Preney comm. pers. 2012).

Catégorie 2

On juge que les types d’habitat ouvert et semi-ouvert ayant un microhabitat adéquat ainsi que l’habitat de lisière de forêt se trouvant à 1,2 km d’une occurrence de l’espèce ont une tolérance moyenne à perturbation, c’est-à-dire avant que leur fonction pour l’habitat soit compromise. L’espèce dépend de ces zones d’habitat pour la recherche de nourriture, la thermorégulation, l’accouplement, la mue, les déplacements et comme lien avec les sites de gestation et les gîtes d’hibernation.

La longueur moyenne du domaine vital du massasauga chez la population de l’est de la baie Georgienne est de 1,2 km pour les femelles et de 1,1 pour les mâles (Rouse et comm. pers. 2011). De même, la longueur moyenne du domaine vital des massasaugas dans la péninsule de Bruce est de 1,2 km, avec une longueur maximale de 2,3 km (Harvey, données inédites 2012). Les massasaugas ont tendance à se disperser à partir de leur gîte d’hibernation au printemps, ce qui fait que le gîte est situé près de la limite du domaine vital de l’espèce (Johnson 1995, Rouse et coll. 2011).

Pendant la saison active, les massasaugas utilisent principalement les habitats ouverts et semi-ouverts qui maximisent les possibilités d’exposition au soleil (Harvey et Weatherhead 2006a, Rouse 2006, Foster et coll. 2009, Harvey et Weatherhead 2010) et qui soutiennent de grandes densités de petits mammifères comme proies (ERM 2005, Yagi comm. pers. 2011 dans Agence Parcs Canada 2011). En Ontario, les habitats adéquats comprennent les forêts clairsemées, les clairières de forêt, les lisières de forêt, les champs, les prairies d’herbes hautes (population ojibwa), les prés, les terres humides (comme les fens, les tourbières, les marais et les marécages), les alvars, les rives et les landes rocheuses (ERM 2002b, Harvey et Weatherhead 2006a, ERM 2005, Rouse 2006 dans Harvey 2008; Harvey et Weatherhead 2010). Les massasaugas manifestent un choix prononcé pour l’habitat de lisière de forêt (Harvey et Weatherhead 2006a, Harvey 2008, Rouse 2006) qui leur fournit une gamme optimale de conditions pour la thermorégulation.

À l’échelle du microhabitat, les massasaugas utilisent des sites au couvert forestier bas, à la couverture de sol haute (roches et végétation) et les sites peu éloignés (0,5 m ou moins) de leur lieu de retraite (Johnson 1995, Harvey et Weatherhead 2006a, Harvey et Weatherhead 2010). La présence de couverture de sol réduit la possibilité que l’espèce soit repérée par des prédateurs potentiels (Harvey 2005), alors que les lieux de retraite facilitent une évasion rapide (Harvey et Weatherhead 2006a, Crowley comm. pers.). Une grande abondance et une grande diversité de couverture du sol, comme des roches et des arbustes, sont aussi importantes pour fournir une gamme de possibilités pour la thermorégulation (Harvey et Weatherhead 2006a).

Catégorie 3

On juge que l’habitat forestier situé à 1,2 km d’une occurrence a le niveau le plus élevé de tolérance à la perturbation. L’espèce dépend de cet habitat pour ses processus vitaux dont la recherche de nourriture et les déplacements entre les sites de gestation, les gîtes d’hibernation et pour d’autres aires d’activités.

Bien que le massasauga manifeste une préférence pour les habitats ouverts et semi-ouverts pendant sa saison active, l’habitat forestier reste un élément important de son utilisation d’habitat (Harvey et Weatherhead 2006a, Rouse 2006). Par exemple, l’habitat forestier de la péninsule de Bruce est utilisé presque exclusivement pendant les mois qui précèdent et qui suivent l’hibernation et compte pour 25 à 30 % de l’utilisation totale de l’habitat pendant les mois d’été (Harvey et Weatherhead 2006a). De même, dans l’est de la baie Georgienne, plus de 30 % des lieux de télémétrie étaient situés dans un habitat forestier (Rouse 2006). Le massasauga utilise l’habitat forestier dans son domaine vital exclusivement à des fins de déplacement entre les habitats d’hibernation, de recherche de nourriture et de reproduction. Les couloirs de déplacements sont nécessaires pour permettre les déplacements saisonniers à l’intérieur du domaine vital de l’individu (ERM 2002b).

Activités dans l’habitat du massasauga

Les activités dans la zone d’habitat général peuvent se poursuivre pourvu que la fonction de cette zone en ce qui concerne l’espèce soit maintenue et qu’on ne tue ni ne harcèle les individus de l’espèce et qu’on n’y nuise pas.

Généralement compatibles :

  • Des travaux d’entretien de la cour comme la tonte du gazon et le jardinage.
  • La rénovation ou la construction de petites structures comme une remise ou une terrasse en bois
  • Les pratiques agricoles existantes comme la récolte annuelle peuvent se poursuivre.
  • La coupe sélective à petite échelle d’arbres individuels.

Généralement non compatiblesfootnote * :

  • Enlever ou modifier un site de gestation ou un gîte d’hibernation documenté.
  • La modification, la réduction ou la coupe importante de types d’habitats comme les forêts, les prés, les prairies, les terres humides, les tourbières, les rives, les landes rocheuses et les alvars

Termes clés

  • Gîte d’hibernation : Caractéristique souterraine, naturelle ou artificielle, qui se prolonge en dessous de la ligne de gel et où les serpents hibernent pour éviter les températures très froides de l’hiver. Le gîte d’hibernation peut se trouver dans une crevasse dans la roche-mère, un terrier de petit mammifère et dans la fondation d’un édifice.
  • Thermorégulation : Certains animaux, comme les tortues, utilisent la thermorégulation pour modifier la température interne de leur corps par l’entremise de divers comportements, comme l’exposition au soleil pour accroître leur température corporelle ou recherchant les endroits frais pour la diminuer.

Exemple d’application de la protection de l’habitat général du Massasauga

Diagramme servant d’exemple d’application du règlement sur l’habitation du le Massasauga (Sistrurus catenatus). Il illustre la catégorisation d’habitat décrite dans ce document.

Figure 1 : Exemple d’application de la protection de l’habitat général du Massasauga

Bibliographie

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Cette description d’habitat général est disponible en format PDF sur demande. Veuillez faire parvenir vos demandes de PDF par courriel à recovery.planning@ontario.ca.