Pas d’impact mineur : La place des analyses capillaires dans la protection de l’enfance
Lisez le rapport de la Commission Motherisk sur les analyses capillaires peu fiables effectuées par le laboratoire de dépistage de drogues Motherisk.
Au sujet du rapport
Entre 2005 et 2015, le laboratoire Motherisk au sein de l’Hôpital pour enfants malades de Toronto a analysé plus de 24 000 échantillons de cheveux provenant de quelque 16 000 personnes, en vue de dépister la consommation de drogues et d’alcool à des fins de protection de l’enfance.
L’Examen indépendant de l’honorable Susan E. Lang en 2015 a conclu que ces analyses étaient « inadéquates et peu fiables dans le cadre des procédures pénales ou liées à la protection de l’enfance » et que l’utilisation de ces éléments de preuve avait de « graves conséquences sur l’équité de ces procédures ».
En janvier 2016, en réponse au rapport de la juge Lang, le gouvernement de l’Ontario a créé un Centre d’examen et de ressources (la Commission Motherisk) dans le but d’aider les personnes dont la vie avait été affectée par les analyses.
Durant son mandat de deux ans, la Commission a passé en revue 1 271 cas provenant de sociétés d’aide à l’enfance (SAE) de l’Ontario et produit un rapport sur les conclusions.
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Pas d’impact mineur : La place des analyses capillaires dans la protection de l’enfance
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