Utilisation des renseignements sur les sols et de l’Inventaire des terres du Canada pour planifier l’utilisation des terres agricoles en Ontario
Renseignez-vous sur la cartographie des sols et le système de classement de la capacité des sols de l’Inventaire des terres du Canada et la manière dont il est utilisé pour appuyer les politiques de planifications provinciales pour les terres agricoles.
Ces renseignements techniques sont destinés aux municipalités, aux entrepreneurs et aux planificateurs de l’aménagement du territoire en Ontario.
Aperçu
La Loi sur l’aménagement du territoire exige que les décisions en matière d’aménagement du territoire prises par les conseils municipaux, le Tribunal ontarien de l’aménagement du territoire ou d’autres organismes soient cohérentes avec la Déclaration de principes provinciale. La Déclaration de principes provinciale fournit une orientation sur la protection et la désignation des zones agricoles à fort rendement dans les documents de planification municipale et pose les critères devant être tenus pour compte lorsqu’on propose d’utiliser des terres au sein d’une zone agricole à fort rendement à des fins non agricoles. La Déclaration de principes provinciale renvoie précisément au système de l’Inventaire des terres du Canada (ITC) dans les définitions qu’elle donne des zones agricoles à fort rendement et des terres agricoles à fort rendement.
Le système de l’ITC est le système reconnu en Ontario pour classer les zones avec des sols minéraux conformément à leur capacité inhérente pour faire croître les grandes cultures fréquentes. Voici certaines grandes cultures fréquemment cultivées :
- maïs
- blé
- soya
- avoine
- orge
- cultures fourragères vivaces comme la luzerne et la fléole des prés
Le système ne classe pas les sols pour les cultures horticoles et les autres types de cultures spéciales.
Puisque l’ITC met l’accent sur le potentiel inhérent d’une zone à soutenir les grandes cultures, l’utilisation actuelle des terres, l’aménagement des terres, la superficie des terres ou leur propriété ne sont pas tenus pour compte.Par exemple, une zone boisée peut avoir une cote plus élevée de l’ITC même si elle n’est pas dégagée et aménagée à des fins d’utilisation agricole.
La cartographie de l’ITC et les renseignements sur les sols sont accessibles pour l’aménagement du territoire et d’autres utilisations. Même si d’autres systèmes de classification des terres ont été élaborés, le système de l’ITC continue d’être le système accepté en Ontario pour l’aménagement du territoire.
Le système de classification de l’ITC pour l’agriculture est un système de classification interprétatif. Il a été conçu aux termes de la Loi sur la revalorisation et l’aménagement des régions agricoles, un programme coopératif fédéral-provincial visant à offrir un levé pédologique exhaustif à l’échelle nationale du potentiel des terres et de l’utilisation des terres à différentes fins.
Classes et cotes de potentiel des sols
Les sept différentes classes de potentiel indiquent le potentiel général du sol à permettre la croissance des grandes cultures fréquentes. Les 13 différentes sous-classes de potentiel indiquent le principal type de limitation ou de danger pour la croissance des grandes cultures fréquentes. Apprenez-en plus sur le potentiel agricole du sol en Ontario. Une cote de potentiel des sols est constituée d’un numéro de classe de potentiel suivi par un maximum de deux sous-classes représentées par leurs lettres respectives (par exemple 3FM). La sévérité des limitations identifiées par les sous-classes dans la cote influence la désignation de la classe. Voici dans quelles situations deux sous-classes peuvent apparaître dans une cote de potentiel :
- elles représentent des limitations dont la sévérité est égale et elles placent toutes les deux le sol dans la même classe de potentiel
- elles représentent une combinaison de limitations qui, prises ensemble, placent le sol dans une classe donnée
Les cotes de potentiel simples ou complexes peuvent être illustrées sur les cartes de potentiel. Une cote simple apparaît dans un signe cartographique lorsqu’un seul type de sol est en cause (comme 2T).
Lorsque deux types de sols surviennent dans une zone illustrée sur la carte, une cote de potentiel complexe apparaît, laquelle inclut des cotes distinctes pour chaque sol. Les proportions de la zone représentée par chaque cote sont indiquées par un petit chiffre présenté en exposant après chaque cote. L’exposant numérique indique la proportion de la zone sur un total de 10. Par exemple, si la cote de potentiel indiquée est 2T7 5R3, 70 % de la zone est alors de la classe 2T et 30 % de la classe 5R.
Contraintes liées à l’utilisation de l’Inventaire des terres du Canada
Le système de classification est appliqué uniquement aux zones avec des sols minéraux. Il ne peut pas être utilisé pour classer des zones avec des sols organiques. Les sols organiques sont simplement désignés par la lettre « O » sur les cartes de potentiel et n’ont pas de cote de l’ITC.
Les cartes de l’ITC publiées en Ontario présentent des renseignements à divers niveaux de détail, en fonction de la portée des cartes de levés pédologiques dont elles sont dérivées (tableau 1). Les études pédologiques provinciales publiées sont accessibles sur la page Web Études pédologiques pour l’Ontario.
Les cartes à petite échelle, comme 1:250 000 ne peuvent pas montrer des régions dont la taille est inférieure à 250 hectares. Les cartes à plus grande échelle, comme 1:50 000 fournissent des renseignements plus détaillés, mais ne peuvent pas montrer des zones dont la taille est inférieure à 12 hectares (tableau 2). Les cotes de potentiel pour les petites zones peuvent ne pas apparaître sur ces cartes. Les cartes de potentiel des sols à une échelle de 1:50 000 conviennent mieux aux fins de la planification municipale et permettent l’identification de grandes zones agricoles à fort rendement continues. Même si les zones agricoles à fort rendement peuvent avoir des zones avec des terres ayant un potentiel plus faible et des utilisations non agricoles dispersées, les zones agricoles à fort rendement ne devraient pas diviser des propriétés individuelles ou exclure de petites utilisations non agricoles qui sont entourées par des utilisations agricoles. Pour de plus amples renseignements sur les sols et le système de l’ITC, consultez le potentiel agricole du sol en Ontario.
Comté | Année du levé pédologique | Numéro de l’étude ON | Échelle | Dernière mise à jour | Échelle de la dernière mise à jour |
---|---|---|---|---|---|
Blind River-Sault Ste. Marie (maintenant Algoma) | 1983 | 50 | 1:50,000 | s.o. | s.o. |
Brant | 1989 | 55 | 1:25,000 | s.o. | s.o. |
Bruce | 1954 | 16 | 1:63,360 | 1975 | 1:63,360 |
Dufferin | 1963 | 38 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Dundas | 1952 | 14 | 1:63,360 | 1999 | 1:50,000 |
Durham | 1946 | 9 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Elgin | 1929 | 63 - v1 63 - v2 | 1:126,720 | 1992 | 1:50,000 |
Essex | 1949 | 11 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Fort Frances - Rainy River | 1986 | 51 | 1:50,000 | s.o. | s.o. |
Frontenac | 1963 | 39 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Glengarry | 1957 | 24 | 1:63,360 | 1999 | 1:50,000 |
Grenville | 1949 | 12 | 1:63,361 | 2001 | 1:50,000 |
Grey | 1954 | 17 | 1:63,360 | 1981 | 1:63,360 |
Haldimand - Norfolk | 1984 | 57 - v1 57 - v2 | 1:25,000 | s.o. | s.o. |
Halton | 1971 | 43 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Hastings | 1962 | 27 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Huron | 1952 | 13 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Kenora - Dryden - Pointe Du Bois | 1983 | 52 | 1:50,000 | s.o. | s.o. |
Kent (Chatham) | 1930 | 3 | 1:126,720 | 1996 | 1:50,000 |
Étude spéciale Kent (Chatham) : Cartes des sols du comté de Kent | 1994 | Étude spéciale | s.o. | s.o. | s.o. |
Lambton | 1957 | 22 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Lanark | 1967 | 40 | 1:63,360 | 2000 | 1:50,000 |
Leeds | 1968 | 41 | 1:63,360 | 2001 | 1:50,000 |
Lennox-Addington | 1963 | 36 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Manitoulin | 1959 | 26 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Middlesex | 1931 | 56 - v1 56 - v2 | 1:126,720 | 1992 | 1:50,000 |
Niagara | 1989 | 60 - v1 60 - v2 | 1:25,000 | s.o. | s.o. |
North Bay (maintenant Nipissing) | 1987 | 54 | 1:50,000 | s.o. | s.o. |
Northumberland | 1974 | 42 | 1:42,000 | s.o. | s.o. |
Ottawa - Carleton (sauf les zones urbaines) | s.o. | 58 - v1 58 - v2 | s.o. | 1987 | 1:50,000 |
Ottawa - banlieue urbaine | 1979 | 47 | 1:25,000 | 1999 | 1:50,000 |
Oxford | 1961 | 28 | 1:63,360 | 1996 | 1:50,000 |
Parry Sound | 1962 | 31 | 1:126,720 | s.o. | s.o. |
Peel | 1953 | 18 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Perth | 1952 | 15 | 1:63,360 | 1975 | 1:63,360 |
Peterborough | 1981 | 45 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Prescott & Russell | 1962 | 33 | 1:63,360 | 1998 | 1:50,000 |
Prince Edward | 1948 | 10 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Renfrew | 1963 | 37 | 1:63,361 | 1990 | 1:50,000 |
Simcoe | 1962 | 29 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Stormont | 1954 | 20 | 1:63,360 | 1999 | 1:50,000 |
Sudbury | 1983 | 49 | 1:50,000 | s.o. | s.o. |
Thunder Bay | 1981 | 48 | 1:50,000 | s.o. | s.o. |
Victoria (maintenant Kawartha Lakes) | 1957 | 25 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Waterloo | 1971 | 44 | 1:20,000 | 1996 | 1:50,000 |
Wellington | 1962 | 35 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Wentworth (Hamilton) | 1965 | 32 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
York | 1955 | 19 | 1:63,360 | s.o. | s.o. |
Échelle de la carte | Distances des champs représentées par les tracés des cartes (mètres) | Distances des champs représentées par les tracés des cartes (pieds) | Superficie minimale identifiable sur la carte (hectares) | Superficie minimale identifiable sur la carte (acres) | Objectifs de la cartographie |
---|---|---|---|---|---|
1:250 000 | 250 | 812 | 250 | 620 | Renseignements à des fins générales, vastes zones provinciales |
1:125 000 | 125 | 400 | 62.5 | 150 | Renseignements pour de grandes zones sous-provinciales |
1:50 000 | 50 | 160 | 10 | 25 | Renseignements pour la planification municipale ou les bassins versants |
1:25 000 | 25 | 80 | 2.5 | 6 | Renseignements pour des groupes d’exploitations agricoles ou des sous-bassins versants |
Cotes pour les cultures spéciales
Les cultures spéciales sont des cultures fruitières, maraîchères et autres qui sont cultivées à l’échelle commerciale en Ontario et qui ne peuvent pas être regroupées avec les grandes cultures fréquentes (comme le maïs). La Déclaration de principes provinciale définit les zones de cultures spéciales. Même si l’ITC ne donne pas une cote de potentiel des sols pour la production des cultures spéciales, plusieurs publications et lignes directrices sont utiles pour évaluer la qualité des terres et des sols pour les cultures spéciales.
Les études pédologiques les plus récentes (Brant, Elgin, Haldimand-Norfolk, Middlesex et Niagara) incluent les cotes de potentiel des sols pour certaines cultures spéciales. Les cotes publiées dans ces études peuvent aussi guider l’interprétation des sols raisonnablement corrélés dans des comtés adjacents dont les études sur les sols ne contiennent pas de telles interprétations pour les cultures spéciales.
La publication A Compilation of Soil, Water and Climatic Requirements for Selected Horticultural Crops in Southern Ontario (Ontario Institute of Pedology Publication, 1989) décrit les exigences générales liées aux besoins en eau et à l’emplacement de plus de 40 espèces différentes d’arbres fruitiers, de petits fruits et de légumes. Elle comprend plusieurs des principes pédologiques utilisés pour arriver aux cotes de potentiel cultural données dans les plus récentes études pédologiques.
L’irrigation ou le drainage artificiel sont souvent nécessaires, dépendamment de l’emplacement et de la culture. Le régime climatique doit être tenu pour compte. Plus la période sans gel est longue et plus le nombre d’unités thermiques disponible est grand, plus l’éventail et la productivité des cultures que les terres sont en mesure de soutenir sont grands.
Règle générale, les sols qui sont placés dans la catégorie à fort rendement (classes 1 à 3) pour les grandes cultures fréquentes de types maïs, soya, petites céréales et cultures fourragères auront un potentiel viable pour un éventail de cultures spéciales. Cela est particulièrement le cas des sols sableux et loameux. Les sols argileux conviennent à un nombre moins important de cultures spéciales, mais peuvent tout de même être adaptés à certaines cultures.
Préparer un nouveau plan officiel ou mettre à jour un plan officiel établissant des zones agricoles à fort rendement
Les municipalités dotées d’un plan officiel doivent, en vertu de la Loi sur l’aménagement du territoire, revoir leur plan officiel au moins tous les cinq ans, notamment pour s’assurer des points suivants :
- il respecte la Déclaration de principes provinciale
- il est conforme avec les plans provinciaux applicables
- il traite des questions d’intérêts provinciaux
Durant ce processus, les municipalités devraient s’assurer que les politiques de leur plan officiel reflètent les changements en matière de besoins et de priorités à l’échelle locale. Les zones ayant des ressources qui présentent un intérêt provincial comme les zones agricoles à fort rendement, les ressources du patrimoine naturel et les ressources en agrégats devraient être identifiées en amont afin qu’elles puissent être tenues pour compte lorsque d’autres questions d’aménagement sont abordées (comme le besoin d’élargir les zones de peuplement).
La Déclaration de principes provinciale définit les zones agricoles à fort rendement comme des zones où les terres agricoles prédominent (les zones de cultures spéciales et les zones de classes 1 à 3 et les terres connexes de classes 4 à 7).
La Déclaration de principes provinciale exige que les offices d’aménagement désignent les zones agricoles à fort rendement, y compris les zones de cultures spéciales.
Les zones de cultures spéciales reçoivent la priorité la plus élevée à des fins de protections parmi toutes les zones agricoles à fort rendement. Circonscrire les zones agricoles à fort rendement au-delà des zones de cultures spéciales peut être fait à l’aide de la méthodologie du Système d’évaluation des terres agricoles (SETA), et celle du Système d’évaluation des terres et d’analyse des zones. Les deux méthodologies se fondent très fortement sur la cartographie de l’ITC. Pour obtenir de plus amples renseignements sur ces méthodologies, consultez les planificateurs de l’aménagement rural du ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et des Affaires rurales (MAAARO).
Demander la modification d’un plan officiel aux fins d’une utilisation non agricole
La Déclaration de principes provinciale stipule que les offices d’aménagement peuvent exclure des terres de zones agricoles à fort rendement uniquement pour établir ou élargir des zones de peuplement conformément aux autres critères prévus dans la déclaration. La conversion d’une zone agricole à fort rendement en zone de peuplement ne peut être envisagée qu’au moment de l’examen exhaustif d’un plan officiel, sous réserve de conditions. Au sein de la région élargie du Golden Horseshoe, une évaluation des répercussions sur l’agriculture est exigée pour l’élargissement des limites d’une zone de peuplement. Cela peut inclure l’analyse de la cartographie de l’ITC.
La Déclaration de principes provinciale stipule que les utilisations non agricoles, en particulier l’extraction des agrégats minéraux et les utilisations non résidentielles limitées ne peuvent être permises dans des zones agricoles à fort rendement que si certaines conditions peuvent être satisfaites. Par exemple, le besoin doit être démontré et des emplacements de rechange doivent être évalués à l’extérieur des zones agricoles à fort rendement identifiées. Lorsque cela est impossible, des emplacements de rechange devraient être circonscrits sur des terres de priorité moindre au sein de la zone agricole à fort rendement.
Les terres agricoles de priorité moindre sont déterminées en fonction de l’ITC et de facteurs comme :
- l’utilisation actuelle des terres
- la somme des investissements en immobilisations dans l’infrastructure agricole
- la quantité de terres activement cultivées
- le degré de fragmentation du territoire agricole avoisinant
- la proximité de zones de peuplement urbaines ou rurales adjacentes
L’échelle de la cartographie actuelle de l’ITC est appropriée aux fins de prendre en compte des emplacements de rechange.
Réaliser une évaluation environnementale
La Loi sur les évaluations environnementales exige que l’évaluation des répercussions associées aux entreprises proposées par le secteur public et à certaines entreprises importantes du secteur privé sur l’environnement (comme des lieux d’enfouissement, des routes). La Loi sur les évaluations environnementales de 1990 définit largement le terme environnement afin d’inclure les environnements naturels, sociaux, économiques, culturels et bâtis. Les promoteurs doivent :
- circonscrire et évaluer des solutions de rechange
- analyser les effets
- circonscrire des mesures d’atténuation des répercussions
La consultation du public, des collectivités autochtones et des organismes gouvernementaux est obligatoire et doit aussi être documentée.
Les répercussions potentielles d’une entreprise proposée sur les zones agricoles à fort rendement et la manière dont elles seront gérées doivent aussi être examinées lors du processus d’évaluation environnementale. Dans la région élargie du Golden Horseshoe, une évaluation des répercussions sur l’agriculture ou une analyse équivalente est requise pour les projets d’infrastructure, ce qui peut inclure l’analyse de la cartographie de l’ITC.
Apprenez-en plus sur le processus d’évaluation environnementale en Ontario.
Présenter une demande d’approbation pour exploiter un puits d’extraction ou une carrière
Puisque l’ITC est l’outil de base pour déterminer le potentiel pour l’agriculture en Ontario, les promoteurs et les offices d’aménagement responsables des demandes pour un puits d’extraction ou une carrière doivent examiner les renseignements de l’ITC afin d’être conformes aux politiques provinciales qui se penchent sur la les exigences protection et de réhabilitation dans les zones agricoles à fort rendement.
La classification de l’ITC est aussi considérée lorsqu’un permis est demandé aux termes de la Loi sur les ressources en agrégats.
Apprenez-en plus sur le processus entourant les demandes un puits d’extraction ou une carrière.
Une évaluation des répercussions sur l’agriculture est exigée pour les demandes visant l’extraction d’agrégats minéraux dans la région élargie du Golden Horseshoe.