Le graphique 3 illustre le nombre d’enquêtes sur des décès effectuées par le CEDE comparativement au nombre total de décès en Ontario en 2018, répartis par groupes d’âge. Proportionnellement, les nourrissons représentent le plus vaste sous-groupe de décès, suivis des adolescents.

Graphique 3 : Répartition des décès d’enfants par groupes d’âge (2018) 

Image
Graphique 3 : Proportionnellement, les nourrissons représentent le plus vaste sous-groupe de décès, suivis des adolescents.

Le graphique 4 montre qu’en 2018, le BCC a mené des enquêtes dans approximativement 23 % des décès de nourrissons (moins de 1 an), 60 % des décès d’enfants de 1 à 4 ans, 50 % des décès d’enfants de 5 à 9 ans, 69 % des décès d’enfants de 10 à 14 ans et 88 % des décès d’adolescents de 15 à 19 ans.  

Graphique 4 : Proportion des décès d’enfants en Ontario ayant fait l’objet d’une enquête du BCC, par groupes d’âge (2018)

Image
Graphique 4 : approximativement 23 % des décès de nourrissons (moins de 1 an), 60 % des décès d’enfants de 1 à 4 ans, 50 % des décès d’enfants de 5 à 9 ans, 69 % des décès d’enfants de 10 à 14 ans et 88 % des décès d’adolescents de 15 à 19 ans.  

Le graphique 5 indique les modes de décès d’enfants ayant fait l’objet d’une enquête par un coroner en 2018, par groupes d’âge. Le graphique révèle que la répartition des modes de décès établis par un coroner en Ontario évolue en fonction de l’âge (de la petite enfance à l’adolescence). Les modes de décès naturel et indéterminé expliquent une importante part des décès d’enfants de moins d’un an, puis ils cèdent graduellement la place à des modes de décès non naturels (mort accidentelle, homicide et suicide), qui sont plus fréquents chez les adolescents.

Graphique 5 : Modes de décès dans les enquêtes du BCC – Répartition par groupes d’âge (2018)

Image
Graphique 5 : Les modes de décès naturel et indéterminé expliquent une importante part des décès d’enfants de moins d’un an, puis ils cèdent graduellement la place à des modes de décès non naturels (mort accidentelle, homicide et suicide), qui sont plus fréquents chez les adolescents.